Le gouvernement maintient cette aide aux primo-accédants tout en limitant dans le neuf l’enveloppe à 20% du montant maximal de l’acquisition dans les zones les moins tendues, contre 40% dans les zones les plus tendues.

Comme tous les ans, les dossiers de financement immobilier avec un Prêt à taux zéro (PTZ) sont à nouveau étudiés début janvier après avoir été mis en suspens par les banques à l’approche de la fin d’année. Le temps pour les banques de prendre en compte les changements de ce prêt aidé par l’État.

Pas de changements dans le neuf et l’ancien avec travaux

Cette année, les choses sont simples puisque les conditions d’attribution et les modalités des PTZ ont été maintenues selon les mêmes barèmes qu’en 2018 d’après un décret publié fin décembre. Ce décret s’applique aux offres de prêts émises à compter du 1er janvier 2019.

Le gouvernement a donc maintenu cette aide aux primo-accédants tout en limitant dans le neuf l’enveloppe à 20% du montant maximal de l’acquisition dans les zones les moins tendues, contre 40% dans les zones les plus tendues. Pour ce qui est du PTZ dans l’ancien avec travaux, il faut se diriger vers les zones B2 et C, les zones urbaines A bis, A et B1 en étant exclues depuis 2018.

Une année charnière

2019 sera cependant une année charnière pour le PTZ. Les derniers débats autour du projet de loi de finances 2019 adopté le mois dernier par l’Assemblée nationale ont permis de confirmer les espoirs d’une poursuite du PTZ en zones B2 (péri-urbaine) et C (rurale) après la fin 2019, date butoir pour l’instant fixée par le gouvernement pour ce dispositif qui pourrait pourtant s’avérer encore plus indispensable aux ménages modestes dans la perspective d’une remontée inéluctable des taux d’emprunts d’ici 1 à 2 ans.

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